La prise de décision peut se faire en plusieurs étapes. Il est difficile de renoncer à un soit disant plaisir ancré depuis longtemps. Plaisir qui n'est rien d'autre que le soulagement de la nervosité déclenchée par le manque de nicotine.
Certains fumeurs prennent la décision d'arrêter brutalement, sans aide , et y parviennent très bien, sans regrets.
Mais la plupart ont besoin d'un accompagnent avec traitements, substituts nicotiniques, diverses techniques adaptées à leur personnalité, leur motivation, leur degré de dépendance..
L'essentiel est de pouvoir arrêter car le tabagisme DECLENCHE ou AGGRAVE toutes les maladies qui existent.
Arlette Guises tabacologue.
Sur rendez vous par téléphone : 06 15 37 77 00
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Le placenta n'arrête pas toutes les substances toxiques contenues dans la cigarette (4000). Certaines sont même plus concentrées chez le foetus que chez la mère. La consommation de tabac augmente des risques pendant la grossesse, l'accouchement et dans sa petite enfance.
Le degré de l'intoxication est fonction de la façon dont on fume et pas forcément du nombre de cigarettes fumées. D'où l'importance de faire une consultation chez un tabacologue pour évaluer le taux de cette intoxication. Un accompagnement adapté (avec l'accord, le désir et le choix de la future maman) sera mis en place pour l'aider à arrêter de fumer.
Le tabagisme : "véritable maladie du comportement" nécessite un accompagnent médical pour une bonne réussite. Les bénéfices de l'arrêt sont immédiats (enceinte ou non).
Arlette Guises tabacologue.
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